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Réforme de la profession infirmière : transfert des tâches et responsabilité

CancerCare - volume 2, numéro 6, dÉcembre 2024

Diede Smeets MSc, Robin van Amersfoort MSc

La réforme de la profession infirmière aura sans aucun doute un impact majeur sur l’ensemble du système de santé belge. Cette réforme a déjà été abordée dans une édition précédente de Cancer-Care. La législation correspondante entre en vigueur le 1er janvier 2025. Afin d’apporter plus de clarté, cet article aborde un certain nombre de questions importantes pour tout le personnel infirmier (en oncologie), quelle que soit sa place sur l’échelle des soins récemment introduite. Il s’agit notamment de la répartition des tâches entre les différentes professions infirmières et de la responsabilité du personnel infirmier dans l’exercice de son métier. L’article de cette édition aborde un certain nombre de questions relatives à la réforme de la profession infirmière qui revêtent une importance particulière pour les infirmiers de pratique avancée.

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Réforme de la profession infirmière

CancerCare - volume 2, numéro 4, août 2024

Diede Smeets MSc

La profession infirmière est en train d’être réformée. Dans le cadre de cette réforme, récemment annoncée par le ministre des Affaires sociales et de la Santé publique, Frank Vandenbroucke, une nouvelle échelle de formation et de soins infirmiers a été élaborée. Six profils ont été différenciés en fonction des différents niveaux de formation du personnel infirmier. En outre, de nouvelles définitions ont été établies pour la profession infirmière, le personnel infirmier bénéficie d’une plus grande autonomie et il est plus facile de déléguer des soins infirmiers à du personnel non-infirmier. Elsie Decoene (ABIPA et VVRO) nous explique pourquoi la réforme devait avoir lieu, quelle a été sa contribution et quels sont les effets potentiels de la réforme sur la pratique infirmière.

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La réforme de la profession infirmière

CancerCare - volume 2, numéro 4, août 2024

Diede Smeets MSc

En tant que présidente de l’ABIPA et membre du conseil d’administration de la VVRO, Elsie Decoene, MSc, connaît mieux que quiconque les défis auxquels le personnel infirmier (en oncologie) est confronté dans l’exercice de sa profession. Dans le cadre de son travail pour la VVRO et l’ABIPA, Elsie a pu contribuer aux avis présentés au ministre Vandenbroucke par le Conseil fédéral de l’art infirmier et le groupe de travail sur la réforme de la profession infirmière. Cancercare s’est entretenu avec Elsie sur la genèse de cette réforme, son impact sur la profession infirmière et la manière dont le personnel infirmier sur le terrain la perçoit.

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Retrouver le plaisir de manger : le projet de contrôle du goût de l’AZ Alma

CancerCare - volume 2, numéro 3, juin 2024

Diede Smeets MSc

Les patients atteints d’un cancer peuvent souffrir d’une diminution de l’appétit et d’une malnutrition subséquente. Cependant, un état nutritionnel sain est important pour les résultats du traitement et améliore également la qualité de vie pendant le parcours de traitement. À l’AZ Alma (Eeklo), un nouveau projet de contrôle du goût a été lancé avec le soutien financier de la Fondation contre le cancer. Griet Van Parys est diététicienne en Oncologie à l’AZ Alma et soutient l’oncocoach et infirmière Isabelle Janssens, entre autres, dans l’amélioration de l’état nutritionnel des patients atteints de cancer. Ensemble, elles abordent le nouveau projet de contrôle du goût.

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Raconteurs de récits de fin de vie : un complément à l’accompagnement spirituel et existentiel, par Amfora et l’UZ Gent

CancerCare - jaargang 2, numéro 2, april 2024

Diede Smeets MSc

L’accompagnement spirituel et existentiel est le quatrième pilier des soins palliatifs. Il vient en renfort du bien-être physique, émotionnel et social. Certains patients en phase palliative souhaitent partager avec leurs proches leurs sentiments et leurs réflexions sur la vie, les adieux et la mort, mais ils ne veulent pas imposer une charge émotionnelle à ces êtres qui leur sont chers. Amfora forme les prestataires de soins et les bénévoles à la rédaction de récits de fin de vie (Raconteurs). Ils recueillent l’histoire de personnes en fin de vie pour cause de maladie ou de vieillesse. Dans le cadre d’un nouveau projet, soutenu par la Fondation contre le cancer, Amfora et l’UZ Gand collaborent à l’élaboration d’une feuille de route pour la mise en oeuvre de cette offre de soins, afin que la rédaction des récits de fin de vie devienne plus largement accessible dans la pratique hospitalière. Michèle Morel d’Amfora et Michiel Daem, infirmier spécialisé en oncologie à l’UZ Gand, parlent du projet et du rôle des infirmiers en onco-logie dans la rédaction des récits de fin de vie.

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Soins de la douleur chez les enfants par l’équipe spécialisée en gestion de la douleur de l’UZA

CancerCare - volume 2, numéro 1, fÉvrier 2024

Diede Smeets MSc

Depuis 2 ans, un service de gestion de la douleur pour enfants a été mis en place à l’hôpital universitaire d’Anvers (UZA) afin de garantir et d’améliorer le confort procédural des enfants. La démarche du service de gestion de la douleur pour enfants repose sur 4 piliers importants : la prévention de la douleur (gestion de la douleur), le détournement de l’attention de l’enfant par le biais de la distraction, la promotion de la détente et le renforcement du sentiment de contrôle par le biais de la communication. Ce service de gestion de la douleur est utilisé dans tout l’hôpital et soutient également le service d’oncologie pédiatrique de l’UZA.

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« J’avais un cancer mais j’étais aussi une adolescente en pleine découverte »

CancerCare - volume 1, numéro 2, décembre 2023

Diede Smeets MSc

Nombreux sont ceux qui éprouvent encore du mal à parler de sexualité. Dans les soins oncologiques, les discussions sur la sexualité peuvent encore être un sujet tabou. Les adolescents et les jeunes adultes (adolescents and young adults, AYA) qui reçoivent un diagnostic de cancer se trouvent souvent en plein développement sexuel. Leur maladie et le manque d’information et de communication sur la sexualité entravent ce développement. Lors de l’EONS 2023, Hans Neefs de Stand Up Against Cancer s’est entretenu avec Sophia Sleeman, qui s’est vu diagnostiquer un cancer du lymphome à l’âge de 18 ans. Depuis environ 7 ans, elle s’est engagée au sein de plusieurs organisations néerlandaises de lutte contre le cancer, dont le réseau de soins AYA ‘Jong & Kanker’ et Stichting Jongeren en Kanker. En tant qu’ambassadrice de la jeunesse pour le Association of European Cancer Leagues (ECL). Sophia a parlé à coeur ouvert avec Hans de l’impact que son diagnostic a eu sur son développement sexuel.

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