Malgré l’importance croissante accordée à la qualité de vie et à la réintégration des personnes atteintes d’un cancer, la post-cure n’est pas encore suffisamment développée en Belgique et à l’étranger. Environ 20 à 30 % des patients sont confrontés à des conséquences graves et à long terme du cancer et de son traitement, même après le traitement. La post-cure doit donc faire partie intégrante d’un parcours de soins oncologiques plus large qui ne s’arrête pas à la fin du traitement du cancer. La post-cure doit être proposée de manière personnalisée, en fonction des besoins du patient, mais aussi organisée de manière échelonnée afin d’être rentable.